95 – Le Késako du Processus d’Intention-Réalisation (suite)

La vidéo précédente vous a introduit le concept de comment il fallait s’y prendre pour qu’il y ait une réelle participation de la soupe quantique qui répondra/réalisera votre demande dans les meilleures conditions possibles.

Donc aujourd’hui, je vais aborder l’aspect physico-énergétique afin que vous compreniez que ce que je vous ai raconté avant n’est pas de l’ordre du pur concept new-âgeux à l’eau de rose. Bien évidemment, j’en profite pour raccrocher quelques wagons par-ci par-là afin que vous ayez une meilleure idée de comment notre véhicule fonctionne.

Comme je fais les vidéos une à une en ce moment, j’ai la tendance à ne pas respecter le délai imparti d’une heure pour une vidéo. Il faut dire que pour moi faire une conférence d’une heure, c’est vraiment trop court et de plus cela m’oblige à me souvenir de ce que je vous ai raconté une semaine avant.

Dit autrement, je sors du flux et s’y remettre une semaine plus tard demande une période de réchauffement pour que je re-capte le fil du flux précédent. Sincèrement, je préfère faire 2, 3 voire 4 vidéos à la suite ce qui correspond plus facilement à une conf pour moi.

Et puis je vois aussi que le maillot est devenu un peu trop grand car effectivement j’ai perdu pas mal de poids afin de retrouver une vitalité physique suffisante tout en supprimant les symptômes obligatoires dûs au surpoids (genoux qui hurlent, essoufflement plus facile, efforts physiques douloureux et surtout impossibilité de tenir la charge longtemps).

Bref, je ne vais pas revenir à mes 20 ans mais, croyez-moi, ça fait plaisir de pouvoir arracher pendant toute la journée et cela sans s’écrouler le soir dès que l’on met les pieds sous la table. La formule est ultra simple et est composée de 3 parties.

Pour l’équation calorique c’est manger moins et se dépenser plus. La seconde partie c’est de demander à ma Petite Voix (ou Soi Supérieur) si je peux manger quand je ressens la faim et dans l’affirmative quoi (j’ai une petite liste dans la tête et je la déroule jusqu’à que ça réponde oui). Et enfin la troisième partie est de demander à Terre-Mère de « bénir » l’alimentation avant de l’ingurgiter en totale conscience.

Ce faisant, je n’ai rien à calculer caloriquement. Je n’ai pas à me creuser la tête de ce que mon corps a besoin. Je court-circuite les envies dévastatrices du mental-égo et enfin la nourriture avalée dépend du besoin réel du corps et non des habitudes/routines basées souvent sur du social, familial ou actions-réactions compensatrices.

En clair, mon intention est ultra évidente : retrouver une capacité physique optimale et ainsi ne pas donner prise à des dérèglements fonctionnels. Le résultat sera ce qu’il sera et j’ai totalement lâcher-prise à ce propos. En clair, je n’y pense plus du tout et chaque jour l’œuvre se fait à la vitesse que mon Soi Supérieur juge le meilleur.

De temps en temps, il y aura une exception par-ci par-là mais c’est fait en pleine conscience que je chevauche la ligne continue pour éviter un obstacle sur le bord de la route. Mais je ne franchis pas la ligne car il est totalement interdit pour moi de tourner le dos à mon Soi Supérieur pour que mon mental-égo s’éclate en prenant son pied.

En d’autres termes, main d’acier dans un gant de velours. Je reste débonnaire, cool et super zen afin justement d’éviter de tomber dans la culpabilité si chère aux balanciers. Alors chaque jour, dans mon ici et maintenant j’écoute les impulsions qui me parviennent à la conscience et j’exécute sans essayer une quelconque réaction purement mentalo-égotique.

Qu’est-ce que ça fait du bien de se laisser porter et de se faire surprendre par la quantité de travail effectué grâce à une coordination entre son Soi Supérieur et sa conscience. C’est alors que l’on découvre la puissance réelle de l’êtreté car justement toute ton énergie interne est tournée vers l’action puisque, dans ta tête, il n’y a plus aucun petit vélo qui vient te pomper tes précieuses ressources.