Info du Jour : Pas d’abonnement car publication automatique toutes les semaines

42 – Naja : Etude de Cas n°10 – Talents

Nous sommes tous passés par là pendant notre adolescence ou un peu plus tard : quels sont nos talents ? En effet, c’est souvent vers la fin du collège que les adultes nous posaient cette question afin de nous diriger vers un cursus scolaire spécifique et majoritairement on était incapable d’y répondre avec assurance.

Alors, comme c’est mon cas, ils regardaient le dossier scolaire et regardaient où on avait de bonnes notes. En science j’étais au top mais mon français était inversement opposé. Je n’ai pas pu suivre a filière normale et on m’a dirigé vers une voie de garage dans le dessin.

Oui, j’étais bon en dessin artistique surtout les portraits au crayon. Alors je fus orienté vers le dessin en bâtiment avec une équerre et un Té. Des rondeurs avec des variations d’épaisseur de trait sur la même ligne avec des dessins tout en trait droit et avec la même épaisseur. La seule variation c’était les pointillés… Bref, en totale opposition entre l’expressif et la linéarité normée.

En vérité, vos talents ne peuvent être découverts que via l’expérimentation dans la matière. Alors vouloir chercher ses talents en se faisant du tricotage cérébral dénote un réel manque de recul. Alors autant vous pouvez quand même savoir ce qui vous plait car vous vous sentez à l’aise avec la chose autant les autres peuvent vous le dire tant c’est évident pour eux.

Le maître mot dans l’affaire est tout simplement l’aspect naturel. Lorsque vous faites quelque chose naturellement sans vous posez de question, c’est que vous utilisez une mine d’or en vous et souvent on passe à côté de la chose, du moins dans les débuts.

Et des talents vous allez en découvrir au fur et à mesure que vous allez avancer dans votre vie. Car rien n’est figé et c’est justement les difficultés de la vie qui vous pousseront à poser des actes qui vous étonneront par la suite.

J’avais tout juste fêté mes 49 balais lorsque ma Petite Voix m’invita à créer un blog (je ne savais même pas ce que c’était à cette époque car trop nouveau) et cela ne m’inspirait pas car je n’aimais pas écrire. Je communiquais surtout via des gribouillis en sachant qu’un dessin valait mille mots (donc sans faute de grammaire ou d’orthographe) tout en sachant que mon écriture manuscrite est quasiment illisible pour tous.

J’ai eu un peu de résistance au début puis de paragraphe en paragraphe la chose s’est développé à un point qu’aujourd’hui je peux pondre un bouquin sans sourciller. D’ailleurs c’est ce que j’ai fais avec 345d.fr puis après ce fut des planches animées puis la vidéo.

C’est ainsi que le plombier est né et qu’il est évident pour tous mes lecteurs que je suis un sacré prof, un pédagogue hors pair avec qui on ne s’ennuie pas. Aussi, comment aurai-je pu découvrir ce talent si je ne m’étais pas lancer à faire un blog ?

Je suis sûr que vous avez vécu ce genre de chose en répondant à un défi, une obligation, etc. Certes, tout est en nous, mais c’est par l’expérience que l’on peut le découvrir.

Je vous propose donc la version de Naja dans ce cas n° 10 – L’Être qui cherchait ses talents.

Dernières Publications

Commentaires

6 réponses

  1. Eh OUI Laurent & Corinne !
    C’Est Tous les jours que j’ai une pensée pour vous pour Tout Ses Blogs que Tu nous as fait découvrir depuis 17 ans !….
    et on en apprend à chaque fois toujours un peu plus !

    On à la CHANCE Immense de vous avoir comme ECLAIREURS sur le Chemin !
    Un GRAND Feu Du Cœur à vous Deux !

  2. Bonjour à tous : l’appel s’est fait depuis 10.000 Kms et une envie pressante de rencontrer Laurent c’était entre 2005 et 2008 par qui ? Ou? Comment ? La PV, l’intuition, mais qui était le messager ? Je ne sais pas ? et comment on s’est rencontré ? Depuis j’ai emmené Laurent dans tous les pays où j’ai vécue alors … mille mercis, gratitude infinie, et ce ne pas suffisant pour exprimer ce que je ressens 🔥🔥🔥❤️❤️❤️

  3. Oh,oui,merci Corrine et Laurent pour tous vos apports à notre ingnorance crace et au débroussaillage du chemin.😉🧐👌
    Une seule difficulté quand un/une « curieux » nous interroge sur la 5D et que nous faisons référence à vous, il y a une première hésitation pour leur préciser par où commencer.😅
    Il est nécessaire de dresser un shéma rapide de la  » divulgation » avant de les orienter 🙌🙌🙌
    Il me semble que la répétition fréquente des infos de base est primordiale.🙏🙏🙏 aprés leur propre chemin leur appartient.
    Merci🙏🙏🙏🔥🔥🔥❤️❤️❤️

  4. Ah les talents !
    Ça va sans doute paraître très prétentieux mais c’est encore enfant que je me suis posé la question de savoir pourquoi Dieu (à l’époque le nom que je donnais à l’esprit supérieur que je sentais en toute chose) m’avait offert tant de dons alors que mes camarades n’en semblaient pas autant dotés, loin s’en fallait. A l’époque on m’aurait étiqueté surdoué et de nos jours on parlerait de HPI. Au primaire j’étais doué en tout, aussi bien en français qu’en mathématiques. J’étais toujours le premier à lever le doigt pour répondre aux questions ou résoudre les problèmes de remplissage de baignoire ou de croisement de trains. Cela était d’autant plus énervant pour mes camarades que je ne faisais aucun effort et que tout me venait naturellement en tête.
    En cm1 j’ai découvert le mercantilisme que Colbert conseilla à Louis XIV pour permettre à la France de développer son autonomie et j’ai fait mien ce principe qui m’a permis de rencontrer et développer mes talents. Cela a commencé par la cuisine et à 10 ans j’inventais mes premières recettes bien plus goûteuses que la cuisine roborative de ma mère. Ensuite il y eut le théâtre où j’étais comme un poisson dans l’eau et la couture et la danse et le tricot. Dois-je avouer que tout venait simplement et que je n’ai rien appris ? Pas plus que je n’ai volontairement rien appris durant ma scolarité, car sinon l’écart se serait encore creusé et mon « la » se serait mis à gonfler (cf. Brassens). C’est donc sur mes réserves que je suis arrivé au bac mais toujours pas rattrapé. La route semblait ouverte vers l’agrégation mais ça ne m’intéressait pas car j’avais décidé à 12 ans que je serai comédien et je ne pensais qu’à cela. Cela déplaisait à mon père pour qui faire l’acteur était un métier d’excommunié mais je tenais bon et mon plan de carrière était lancé. L’été de mes 18 ans un accident se produisit qui me mina de l’intérieur sans que j’en prenne conscience par faute d’avoir su mettre un nom sur la chose. Et je poursuivis mon rêve comme si rien ne s’était passé. Pour me faire un peu d’argent je rentrai dans les chœurs de l’opéra où je découvris que j’avais une voix qui ne demandait qu’à être travaillée. Mais j’étais encore obsédé par le désir de réussir dans le théâtre et je décidai de tenter ma chance à Paris. Je fis la connaissance de quelqu’un de très bien placé dans le milieu. Il vint me voir en représentation et me trouva suffisamment doué pour me proposer de m’aider. Mais il y avait un prix à payer, celui dont on commence à parler avec les garçonstoo. Il fallait coucher. Et ça, je ne pouvais pas. Alors je suis redescendu, la queue entre les jambes. J’ai repris ma place de choriste au cachet et mes ambitions artistiques déçues ont fini par me conduire à passer le concours de l’Ecole normale d’instituteurs que je réussis sans avoir rien préparé pensant que cela me laisserait le temps de travailler ma réorientation dans le chant lyrique. Et là oui, pour la première fois, il m’a fallu travailler. Et ce fut d’autant plus un chemin de croix que je changeai de voix passant de baryton à ténor et me confrontant à des profs castrateurs et à la manifestation d’une ou plusieurs extensions ayant été exploitées pour la beauté de leur voix d’ange.
    Alors la question que je me posais dans mon enfance (pourquoi tant de dons ?), commençait à trouver quelques possibilités d’explication dans la manifestation parfois bienvenue, parfois intempestive de ce que j’appelais, faute de mieux, de précédentes incarnations. Le concept ne me satisfaisait pas car je ne me reconnaissais pas forcément dans ce qui m’était présenté ni dans les causes soi-disant karmiques qui étaient censées expliquer leur survenue.
    Par contre si on me parle d’extensions de mon esprit directeur comme le fait Laurent là je dis oui car ce n’est pas moi et il m’est alors aisé d’accepter le travail de nettoyage qu’elle me proposent puisque je suis conscient de leur existence et que je suis dans l’incarnation.
    Chaque talent reconnu et actualisé est un morceau du puzzle de costumes et décors qui ont été choisis avec soin au moment de mon incarnation pour accomplir la mission choisie par mon esprit directeur où il me semble qu’il y a récurrence à être créateur de beauté, d’harmonie et d’amour.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Attention : Tous les commentaires sont modérés alors inutile de vous attendre que votre commentaire soit publié instantanément alors ne le faites pas en double ou en triple en pensant que c’est un bug informatique. Merci d’avance.

Cette mesure est prise afin d’éviter la dérive inévitable vers le manque de respect envers ce site et tous ses lecteurs. Nous savons tous que la haine, l’agressivité par l’attaque ne sont que des réactions  mentalo-égotiques dûes à la peur du changement. Ces commentaires seront donc systématiquement non publiées.