13 – Singularité, là où les choses commencent

J’ai enfin pu raccrocher les wagons sur ce dont je voulais vous parler à la précédente vidéo. Ce concept me taquine depuis pas mal d’années mais je ne pouvais pas l’exprimer parce qu’il me manquait des morceaux du puzzle qui me sont tomber dessus par quelques visions au moment du réveil.

En effet, comme vous le savez peut-être, c’est au moment du réveil quand je suis encore au chaud sous les draps que le sapin de noël s’illumine de temps en temps. Je reste alors allonger sur le dos et je regarde le plafond tout en ayant les yeux fermés. C’est ainsi que sont projetées sur l’écran des « visions », des images en plusieurs dimensions.

Cela relève de l’espace (x, y et z) mais cela pivote selon le sens que je veux lui donner. Je regarde donc cet « objet tridimensionnel » qui n’est pas quelque chose de matériel mais plutôt comme un nuage conceptuel qui a comme une plasticité.

Ce n’est pas une chaise ou une table ou un truc auquel je peux mettre une étiquette parce que c’est non matériel mais pourtant cela à une forme à l’image d’un nuage plus ou moins filandreux, plus ou moins dense, plus ou moins translucide et avec des couleurs d’une grande palette.

Et je suis comme un oiseau qui s’approche et tourne autour de ce nuage pour mieux cerner ses frontières tant elles sont floues. pourtant ce n’est pas un objet mais un concept qui fait que des compréhensions naissent en toi. Je trouve cela nirvanesque mais cela ne dure pas des heures.

En vérité, je ne peux pas dire combien de temps car justement tu es dans le non-temps. Il peut se passer 5 mn comme 1 heure et je m’en fous. Avant je pouvais avoir ça que de temps en temps et puis ces derniers temps c’est presque devenu régulier. D’ailleurs je ne prends plus de notes car je sais que c’est maintenant en moi et que cela sortira d’une manière ou d’une autre au moment le plus juste.

Je vous propose donc mes dernières visions tout en sachant que je ne peux rien prévoir de comment ça va sortir quand je serai devant le tableau blanc. Je fais confiance et ça sort comme ça sort et quand ça voudra sortir. J’aime bien cette façon de fonctionner car je n’ai à penser à rien du tout. J’ai juste à laisser faire et derrière il n’y a aucun montage vidéo, aucune coupure, rien et je vous livre du direct de chez direct.

Maintenant j’espère que vous avez compris la notion du masculin et du féminin : ils sont indissociables tout comme l’est le magnétisme de l’électrique. La vibration et la géométrie sont inséparables et cela agit toujours de la même manière : par la géométrie la vibration se révèle.

Ainsi quand vous pensez, vous fabriquez de la géométrie qui se remplira tôt ou tard. Quand vous parlez, la géométrie ira propager le contenu vibratoire. Quand vous agissez/actez la géométrie révèlera son contenu.

Quand tu fais la cuisine, le plat matériel servi est la géométrie mais son contenu révèlera combien d’amour tu y auras mis dedans. Vous comprenez maintenant que toute la bouffe industrielle est non seulement une catastrophe mais une arme de destruction massive de l’amour en ce monde. Voilà pourquoi votre corps se déséquilibre car il n’y a aucun amour, aucune colle d’un Soi vers un autre Soi.

Et puis je vous ai montré la correspondance des hiérarchies solaires et angéliques avec l’hypercube ou tesseract. Ce dernier qui est un cube (cristallin) inclus dans un cube (solaire) est la base géométrique parfaite pour la Création. Il existe d’autres modèles (par déformation) mais du côté de notre Super Univers c’est le modèle de base.

Le cube cristallin possède 12 couches (6 couples ange/matière) tandis que le solaire en possède autant sauf qu’étant de la vibration elles se font emprisonner par la cristallin. Ainsi le règne minéral (la 1D) est le récipient de la 24D d’où notre attirance vers les cailloux…

Et puis, je vous mets 3 images empruntés à cette page Wikipédia dont je vous recommande d’aller y jeter un œil juste pour voir les images. Elles parlent d’elles-mêmes surtout la dernière en forme de croix. je prends cette précaution car rien ne dit que d’ici quelques années cette page existera encore.

Je vous met donc une vision statique et une vision dynamique car vous vous doutez bien que rien n’est figé dans l’Uni-Vers. Ainsi vous verrez comment le solaire et le cristallin font une danse où chacun d’entre eux est alternativement à l’extérieur puis à l’intérieur, etc…

Ce mouvement intérieur/extérieur est illustré de la même manière qu’une particule se baladant dans un tore. La particule part du point zéro (à l’intérieur) puis va vers l’extérieur, fait le tour et revient vers l’intérieur au point zéro et infiniment.

Voilà donc comment fonctionne La Création dans son aspect dynamique. C’est ainsi par ce mouvement que les Archs sont à a fois dans l’infiniment petit et à la fois dans l’infiniment grand. Ce que nous voyons dehors dans l’espace n’est que la projection de ce qu’il y a dedans.

Rajoutez-y l’aspect fractal, et vous aurez compris pourquoi un atome est de même concept qu’un système solaire. Puis à un stade encore plus grand, pourquoi l’on parle de cercles atomiques quand on parle des Super Univers ?

Voilà aussi pourquoi ce que fais le plus petit d’entre nous a un impact sur l’ensemble de la Création car tout est en mode résonance. Cela va aussi dans l’autre sens : La Création vous influence et vous pousse là où le Sans-Nom veut aller puisque l’intention est aussi une géométrie où l’Amour-Lumière va s’engouffrer.

Bon, je vous laisse ici car je sais que beaucoup d’entre vous auront besoin de s’y prendre à plusieurs fois pour juste une première lecture de découverte. Et puis, si un jour vous revenez vers cet article-vidéo il y a de fortes chances que vous découvrirez encore d’autres choses que vous n’aurez pas vu la première fois et ainsi de suite.